PRÉCURSEUR
DEPUIS 200 ANS
Depuis l’origine, les marques du groupe OGF inspirent le secteur et impulsent les transformations en réponse aux attentes des familles.
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A l’écoute des évolutions de la société et des besoins des familles
Ancien régime
Le temps des religieux
Dans la France de l’Ancien Régime, ce sont les administrations religieuses qui possèdent le monopole des enterrements et accordent les droits d’inhumation dans les espaces consacrés tandis que les fournitures mortuaires (draps, velours, robes de deuil, plaques, dais, cercueils…) sont fournies par la corporation des « crieurs-jurés ». A partir de l’Edit de Nantes, les protestants sont inhumés dans des cimetières gérés par les communautés protestantes ou dans des espaces privés.

19e siècle
A Paris, un unique entrepreneur privé
Le Préfet de Seine décide de confier l’administration des pompes funèbres de Paris, sur adjudication, à un seul entrepreneur. En contrepartie, celui-ci doit prendre en charge les personnes dépourvues de ressources (« indigents »). La préfecture rend également obligatoire pour tous l’usage de cercueils individuels, non réutilisables.
Le monopole de l’Eglise
La loi reconnaît aux administrations religieuses le droit de faire « les fournitures d’enterrement », les droits des crieurs-jurés sont ainsi transmis aux représentants des cultes. A Paris, la loi crée un conflit entre le clergé et l’entrepreneur privé concessionnaire. Pour apaiser les esprits, l’empereur Napoléon confirme le principe d’un entrepreneur unique mais impose à celui-ci de remettre aux administrations religieuses plus de la moitié de ses bénéfices.
Plusieurs « classes » d’enterrement
Pour des raisons de simplification et de contrôle administratif, des « classes d’enterrement » sont définies par arrêté préfectoral. Leur nombre varie selon les régions. De la première classe, la plus luxueuse, à la dernière, celle des pauvres, tout est codé : corbillard, tentures, nombre et poids des cierges…

Création de la société Henri de Borniol
D’abord société de transport de défunts, la société créée par Henri-Joseph de Borniol assure ensuite l’exécution intégrale des obsèques pour le compte de plusieurs paroisses catholiques et le cas échéant, des entrepreneurs privés concessionnaires. Elle va devenir la marque référente pour les funérailles de la noblesse française. Elle est aujourd’hui l’une des plus anciennes entreprises de pompes funèbres encore en activité.

Les prémices de PFG
La Compagnie générale des sépultures de Paris, créée en 1828 et spécialisée dans la construction de caveaux, tombeaux, sarcophages et l’organisation de convois, devient en 1844 entreprise générale de pompes funèbres sous le nom de Société Langlé et Cie puis l’Entreprise générale des Pompes funèbres Langlé et Cie après sa fusion en 1848 avec Vafflard Paris et Cie, une entreprise active dans la région parisienne.
Choisir ses funérailles
La loi sur la liberté des funérailles permet à chacun de choisir les conditions de ses funérailles, civiles ou religieuses, et ces volontés doivent être respectées.
Légalisation de la crémation en France
Le premier crématorium est construit au sein du cimetière du Père Lachaise, à Paris.
20e siècle
Monopole communal
Dans le contexte des lois de séparations des églises et de l’État, la loi abroge celles conférant aux institutions religieuses le monopole des inhumations. Le service dit « extérieur » (transport, cercueil…) des pompes funèbres est attribué aux communes, le service « intérieur » (dans les lieux de culte) restant le monopole des institutions religieuses. Cette évolution favorise le développement de PFG en région parisienne et de la société Roblot dans le Sud-Est, à travers des contrats de concessions.
Création de la société Roblot
La société exerce ses activités de pompes funèbres dans le sud-est de la France.

Création de la holding OGF
OGF gère les actifs de plusieurs sociétés filiales, dont la société Pompes funèbres générales. Entre les deux guerres, d’autres enseignes emblématiques (Lamy Trouvain, Roblot, Henry de Borniol…) sont rattachées au Groupe.
La fabrication de cercueils
La société Pompes funèbres générales crée sa propre menuiserie pour la fabrication de cercueils, la Menuiserie Générale française. Celle-ci deviendra la Compagnie générale de scierie et de menuiserie (CGSM), puis OGF Industrie en 2008 après son absorption par OGF.

Vers la prévoyance obsèques
Précurseur, OGF lance le « convoi réglé avant décès », c’est une première forme de prévoyance obsèques.
La première chambre funéraire française
Le concept de chambre funéraire est rapporté des États-Unis et adapté en France par Roblot sous le terme d’ « athanée » (du grec « thanatos », la mort, et du « a » privatif), qui sera déposé par OGF en France. Le premier athanée est inauguré à Menton, suivi par ceux de Cannes et de Monaco en 1969.

La crémation acceptée par l’église catholique
Le Concile de Vatican II acte la reconnaissance par l’église catholique de la pratique de la crémation.
Le temps de la personnalisation
Consacrée aux funérailles, la fin du concile Vatican II ouvre la voie à la personnalisation des cérémonies d’obsèques, en lien avec les familles. Les ‘classes’ et les tarifs de l’église pour les enterrements sont supprimés. C’est la fin de l’ostentation mortuaire et des tentures.
La Lyonnaise des eaux devient actionnaire majoritaire des sociétés du Groupe.
La colombe de PFG
Les Pompes funèbres générales deviennent « les PFG » et adoptent le logo à la colombe, encore le sien aujourd’hui.

Le premier numéro vert
Le Groupe crée le premier numéro vert PFG, gratuit et disponible 24h/24, une innovation au service des familles.
Le premier crématorium privé à Nantes
OGF est le premier opérateur privé à s’impliquer dans la création et l’exploitation de crématoriums.
A la fin des années 80, la France comptait seulement 9 crématoriums construits et exploités directement par les communes, pour environ 4 500 demandes.

La fin du monopole des communes
La loi abroge le monopole communal des pompes funèbres, instaure l’habilitation préfectorale des opérateurs funéraires et donne 5 ans maximum aux communes pour se conformer à ce nouveau cadre. Elles ont toujours la responsabilité d’ouvrir les cimetières à tous les défunts, sans distinction, mais perdent le monopole de l’organisation des opérations funéraires
Un leader confirmé
SCI (Service corporation international), leader mondial des services funéraires, rachète les sociétés du Groupe à la Lyonnaise des eaux.
Fusion-absorption des sociétés au sein d’OGF
Toutes les sociétés du Groupe fusionnent pour constituer le Groupe OGF. PFG, Roblot, Henri de Borniol deviennent des marques du Groupe.
La mutualisation, clé du succès
Face à la fin des contrats de concession, OGF revoit son organisation qui avait été pensée à l’échelle des villes. Le Groupe mutualise donc sur des territoires beaucoup plus larges la logistique et les métiers d’exécution du service funéraire (porteur, chauffeur, ambulancier, marbrier).
21e siècle
De nouveaux rituels pour une société qui change
OGF crée les Temps de mémoire. Ces cérémonies d’hommage collectives sont organisées chaque année dans les crématoriums du groupe en hommage aux défunts crématisés dans l’année.

Préserver la santé et la sécurité des équipes
Les produits à base de formaldéhyde utilisés pour les soins de conservation étant jugés cancérigènes, OGF lance des recherches pour développer une alternative. Ce sera Safebalm®, un produit à base de bronopol.
Création du label Dignité Funéraire
OGF lance le label Dignité Funéraire, un réseau d’enseignes locales qui conservent leur identité propre mais répondent à un cahier des charges exigeant, garantie d’un service de qualité pour les familles.

OGF obtient la certification ISO 9001 pour son activité de fabrication de cercueils.
Une dynamique de croissance externe
Après l’arrivée de Vestar Capital Partners au capital d’OGF, Astorg Partners devient actionnaire majoritaire du Groupe en 2007, et entre dans une nouvelle dynamique de croissance externe avec le rachat de PLM, un groupe de pompes funèbres implanté en région parisienne, de la Maison Roger Marin, ou de la Maison Guizard, dans le Roussillon.

Une Fondation d’entreprise, pour s’engager autrement
Le Groupe crée la Fondation PFG. Placée sous l’égide de la Fondation de France, elle soutient, sur tout le territoire français, des associations engagées sur les thèmes de la fin de vie, de la mort et de l’aide aux endeuillés.

La responsabilité environnementale au cœur du projet industriel
Les deux usines de fabrication de cercueils du Groupe obtiennent la certification PEFC, qui garantit la gestion durable des forêts et la consommation responsable du bois et ses produits dérivés.

Innover au service des familles
OGF lance le numéro d’appel 3123 Obsèques, de nouveaux produits de prévoyance funéraire et un service de devis en ligne.

Les PFG laissent leur place à « PFG »
Pompes Funèbres Générales devient « PFG services funéraires ».

La confiance d’un actionnaire majoritaire
Le fonds de pension canadien Ontario Teachers’ Pension Plan, entré au capital d’OGF aux côtés de Pamplona Capital Management en 2015, devient le seul actionnaire du Groupe aux côtés du management et des salariés.
Innover au service des familles
OGF crée l’agence centrale, une plateforme interne destinée à répondre à toutes les demandes de renseignement et de devis initiées en dehors des agences physiques. En 2020, le Groupe lance la vente en ligne de services funéraires (formalités après obsèques et entretien de sépultures).

Innover au service des familles
OGF lance le 3012 - Urgence décès, un numéro gratuit et accessible 24 h/24 et 7 j/7 pour les personnes confrontées à un décès et la souscription, par téléphone ou en ligne, de contrats d’assurance obsèques.
