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OGF au cœur du film « Les Oiseaux de Pluie »

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Les Oiseaux de Pluie

Soutenu par la Fondation PFG, et sorti au cinéma depuis le 30 avril, le film Les oiseaux de pluie nous invite à un voyage immersif et initiatique au cœur du deuil. Ce long-métrage, qui dialogue entre fiction et documentaire, donne également la parole à ceux qui l’accompagnent. Parmi eux : Sébastien Camus, directeur de territoire d’Armorique Ouest, témoigne face caméra.

Les coulisses du film

Au cœur du film Les oiseaux de pluie : un deuil. Celui que traverse la réalisatrice et peintre Ariel Neo, à la suite du décès de son grand-père. Pour pouvoir traverser cette épreuve, elle éprouve le besoin vital de créer. Ce long-métrage nous plonge dans les eaux glacées de Bretagne, ses grottes et ses granits roses, et nous propose plusieurs voies possibles vers la paix. Parmi elles :

     - La médiation animale, avec les oiseaux Yvan Gilbert,
     - La danse, avec le chorégraphe Sofiane Chalal.

Au cours de cette aventure humaine, la réalisatrice s’entoure également d’experts, dont l’accompagnement du deuil fait partie intégrante de leur quotidien.

Les Oiseaux de Pluie


 

Le témoignage de Sébastien, directeur de territoire OGF 

Ariel Neo se souvient de leur rencontre : « J’ai rencontré Sébastien en janvier 2022, le jour où la Fondation PFG m’a officiellement remis le chèque pour soutenir mon film. La presse était là. Et j’ai tout de suite aimé la façon dont il a parlé aux journalistes : de son métier, du deuil et des raisons pour lesquelles la Fondation PFG avait décidé de m’aider dans mon projet. C’est alors que j’ai eu l’idée de l’intégrer à l’équipe. Et il a accepté ».

Sébastien Camus

 

Sébastien Camus, directeur territoire chez OGF, accompagne les familles depuis de nombreuses années. « Le film d’Ariel aborde un sujet dont on parle rarement au cinéma : le deuil. C’était pour moi l’occasion de ‘’détabouiser’’ notre métier et d’en finir avec certaines idées reçues. Montrer comment nous entrons en empathie avec les familles, pour guérir l’âme, au-delà du corps. Et montrer que nous sommes légitimes sur ce sujet ».

Dans le long-métrage, Sébastien souligne le rôle capital du souvenir pour célébrer la vie de l’être perdu et pour se reconstruire. « Il y a toujours une musique, une odeur, une vision ou une recette de cuisine, quelque chose qui va nous rattraper. Ces moments partagés sont un plus pour les vivants ».
 

Le soutien de la Fondation PFG

La Fondation PFG, dont le cœur de mission est l’accompagnement des projets d’intérêt général portant sur la fin de vie, la mort et le deuil, a reconnu la qualité de ce projet, porté par l’association Azeline. A l’occasion de son appel à projet 2024, la Fondation PFG leur a ainsi accordé un don, afin de soutenir ce projet de sensibilisation autour du deuil.

Toute association ou structure d’intérêt général, ayant un projet portant sur la fin de vie, la mort ou le deuil, peut transmettre sa demande de don pour l’appel à projet 2025, jusqu’au 27 juin 2025. 
Rendez-vous sur la page https://www.ogf.fr/fondation-pfg pour déposer votre dossier.
 

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